ICI ON HUMILIE À CHAQUE CLIC.

Arsenal 2-0 PSG : Donnarumma, gardien ou spectateur ? Nasri tranche

Le PSG s’est déplacé à l’Emirates Stadium avec l’espoir de confirmer sa belle victoire contre Gérone, mais au lieu de ça, ils sont repartis avec un bel enfilage signé Arsenal. Et le score final ? 2-0 pour les Gunners. Deux buts, deux cadeaux de Donnarumma, et une légende d’Arsenal, Samir Nasri, qui ne s’est pas privé de tirer à boulets rouges sur le portier parisien.

Donnarumma : Gardien ou figurant ?

On a l’habitude des boulettes de gardien, mais là, Donnarumma a élevé ça au rang d’art. Première boulette : Kai Havertz saute plus haut que tout le monde et met sa tête, et Donnarumma ? Il regarde le ballon passer comme s’il avait payé sa place en tribune. Nasri, toujours prompt à tailler ses anciens adversaires, n’a pas mâché ses mots : "C’est sa faiblesse, le jeu aérien. À croire qu’il a un vertige dès que le ballon prend de la hauteur."

Et comme si ça ne suffisait pas, le coup de grâce arrive sur un coup franc de Saka. Un ballon pas si puissant, mais Donnarumma nous fait le grand numéro : il met ses mains, mais la balle passe quand même. Nasri l’a bien vu : "Le coup franc n’est même pas tiré fort, mais il le laisse filer comme un gardien de district."

Arsenal les Gunners, Paris les Spectateurs

Soyons clairs : Arsenal a fait le boulot. Havertz et Saka n’ont pas tremblé, tandis que les Parisiens, eux, avaient l’air d’être en pleine séance de dédicaces. Des millions sur le terrain, des stars à la pelle, mais pas un seul joueur pour prendre le match à son compte. Vitinha ? Invisible. Neves ? En train de chercher son coup franc parfait. Et Donnarumma ? Toujours pas remis de sa chute aérienne.

Arsenal n’a pas eu besoin de forcer pour montrer à Paris ce qu’est un vrai club. Pendant que les Parisiens prenaient des notes sur comment ne pas se faire enfoncer en Europe, les Gunners prenaient soin de leurs fans avec une victoire propre et sans bavure.

Nasri, l’Artiste de la Provoc’

Et comme si cette défaite ne suffisait pas, Samir Nasri a ajouté sa petite touche personnelle. Il faut dire que l’ancien Gunner ne rate jamais une occasion de descendre les Parisiens. Après avoir vu le show Donnarumma, Nasri a lancé ses piques sur Canal+ avec un sourire en coin : "C’est sa faute, il fait passer Arsenal pour le Barça !" Ça, c’est du Nasri pur jus.

Conclusion : Paris en mode Ligue 1, Arsenal en mode Ligue des Champions

Paris, vous voulez être un grand d’Europe, mais on dirait que vous n’arrivez même pas à être des grands en Ligue 1. Pendant qu'Arsenal monte en puissance, le PSG continue de s’enfoncer dans les mêmes erreurs. Donnarumma, tu nous as montré comment ne pas être gardien. Arsenal vous a montré comment on vous enfile en deux coups de pied arrêtés.

Paris, maintenant, retournez en Ligue 1, on vous y attend pour de nouvelles péripéties, mais en Europe, c’est pas pour vous. Arsenal vous a montré la sortie, et Nasri a fermé la porte.

Laissez un commentaire

Veuillez noter que les commentaires doivent être approuvés avant d'être publiés.

Ce site est protégé par hCaptcha, et la Politique de confidentialité et les Conditions de service de hCaptcha s’appliquent.

Les dernières News de l'enfilage Express.

Tout afficher

Jorge Sampaoli à Rennes

Jorge Sampaoli à Rennes

Jorge Sampaoli à Rennes : Quand la Bretagne se prépare à un cocktail explosif C'est officiel : Jorge Sampaoli, l'homme qui porte ses émotions sur le front et le tacle glissé dans l'âme, débarque à Rennes. Imaginez la scène :...

Plus

Angers enfile les Verts.

Angers enfile les Verts.

Enfin ! Angers a décroché sa première victoire de la saison, et de quelle manière ! Le SCO a littéralement enfilé les Verts en leur infligeant une défaite 4-2 qui va laisser des traces. Les Angevins n'ont fait qu'une bouchée...

Plus

Luis Enrique prêt a enfiler l'OM !

Luis Enrique prêt a enfiler l'OM !

Ce dimanche, le Vélodrome s'apprête à vibrer pour un classique bouillant entre le Paris Saint-Germain et l’Olympique de Marseille. Un duel de titans où les mots "rivalité" et "tension" prennent tout leur sens. D’un côté, les Parisiens de Luis Enrique,...

Plus