Mardi soir, on va assister à un face-à-face attendu entre Arsenal et le PSG en Ligue des Champions. Et autant dire que Mikel Arteta, coach des Gunners, semble déjà préparer le terrain pour… l’enfilage en règle que pourrait infliger le PSG. Lors de la conférence d’avant-match, Arteta n’a pas caché son admiration pour l’équipe parisienne, qu’il a qualifiée d'"exceptionnelle" sous la direction de Luis Enrique. On sent presque qu’il a déjà pris rendez-vous pour le coup de grâce.
"Ils sont très forts, ils sont exceptionnels, c’est une équipe qui domine toutes les phases du jeu." On dirait qu’Arteta a passé son week-end à écrire un poème d’amour pour le PSG, non ? Entre deux compliments, on pourrait presque croire qu’il a déjà parié sur une défaite de son équipe.
"Ils sont agressifs avec le ballon, ils te rentrent dedans", a ajouté Arteta. Bon, on connaît la suite. Demain soir, le PSG risque de rentrer bien plus qu’un ballon dans les filets des Gunners. Avec Luis Enrique à la baguette, Paris a des "intentions claires" : dominer le ballon, et visiblement dominer tout court.
Luis Enrique, chef d’orchestre de l’enfilage parisien
Le PSG, version Luis Enrique, c’est un rouleau compresseur. Une équipe qui te fait croire pendant cinq minutes que t’as une chance, avant de t’enfiler en douceur. "C’est leur plus grande force", comme le dit Arteta, un brin fataliste. On peut déjà imaginer les Gunners essayer de résister… et puis se retrouver pliés à la 60e minute, quand Barcola aura accéléré et que Donnarumma n’aura même pas eu besoin de se salir les gants.
Et n’oublions pas que Luis Enrique n’est pas venu pour participer, il est venu pour enfiler. Que ce soit en Ligue1 ou en Ligue des Champions, le mec n’a qu’un objectif : faire passer ses adversaires pour des figurants. Alors Arsenal, préparez-vous, ça risque d’être brutal.
Arsenal, des Gunners au pistolet à eau ?
Arteta a beau se méfier, est-ce qu’il a vraiment les moyens d’arrêter la machine parisienne ? Arsenal, malgré une belle forme en Premier League, risque de se heurter à un mur. Un mur qui s’appelle Marquinhos, Hakimi, ou encore Fabian Ruiz.
Les Gunners auront beau essayer de dominer la balle, de presser haut, de se battre, on sait tous comment ça va finir. À la 85e minute, Arteta aura les mains sur la tête en mode "Mais qu’est-ce qui s’est passé ?", pendant que les supporters parisiens célébreront une nouvelle leçon d’enfilage en terres londoniennes.
Pronostic ?
Un enfilage en bonne et due forme. On parie sur un 3-1 pour le PSG, avec un doublé de Barcola et un but pour Arsenal, juste pour sauver l’honneur (si on peut encore parler d’honneur après ça).
Mardi soir, préparez les pop-corns, ça risque de glisser tout seul.
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