Kylian Mbappé : Plus rapide que ses adversaires… et ses rumeurs ?

Au Club des Enfileurs, on sait bien que les punchlines, ça fait mal, mais rien ne vaut un bon coup de fake news bien placé pour déstabiliser la star des terrains. Cette semaine, c’est Kylian Mbappé, notre champion des accélérations, qui se retrouve en tête d’une drôle de course. Pas sur un terrain de foot, mais au cœur d'une affaire un peu trop poisseuse pour être vraie. La presse suédoise s’est chargée d’enfiler son nom dans une histoire de viol présumé, et ça sent plus la fake news qu’une vraie action de jeu.

Alors que notre Kyky national s'offrait quelques jours de repos en Suède, la patrie du poisson fermenté (et visiblement des accusations fermentées aussi), voilà que la rumeur enfle plus vite que ses accélérations sur le terrain. Un viol ? Sérieusement, entre deux soirées en boîte et une privatisation en règle, on a du mal à croire que Mbappé a eu le temps de faire autre chose que d’écouter des remix de "Freed from Desire" tout en sirotant des boissons non alcoolisées.

En bon capitaine de l’équipe de France, Mbappé a tout de suite dénoncé cette « fake news » – et franchement, on le comprend. Déjà qu’on l’enfile à chaque rumeur de transfert, voilà maintenant qu’on l’accuse avec le « degré de suspicion le plus faible » (oui, c’est officiel, même les accusations en Suède sont soft).

Son entourage ? Pas au courant d'une plainte, juste au courant qu’il privatisait des clubs comme il privatise les défenses sur le terrain. Au programme : restaurant branché, garde du corps (parce que même quand tu fais des passements de jambes, faut se protéger des tacles), et soirée avec Nordi Mukiele, histoire de se remémorer les bons vieux moments parisiens. Tout ça avant de rentrer tranquillement à l’hôtel. Pas de carton rouge à l’horizon.

Conclusion ? Kylian, continue d’enfiler des défenseurs comme tu sais si bien le faire, et laisse les rumeurs courir après toi. De toute façon, elles sont toujours deux mètres derrière.

Au Club des Enfileurs, on sait qui mérite un bon tacle... et cette fois-ci, c’est plutôt du côté de la presse à scandale qu’on va frapper.